13 décembre :
tous à Bruxelles pour une autre Europe


L’Union européenne, c'est 27 États membres, une superficie de plus de 4 millions de kilomètres carrés et 447,7 millions d’habitants. La Belgique est l’un de ces États membres.

L’impact que l’Europe a sur notre vie quotidienne, notre travail, notre temps libre, etc. ne doit absolument pas être sous-estimé. Lorsque je discute avec des syndicalistes dans le secteur du transport, j’évoque souvent le fait qu’environ 85 % des règlementations dans le secteur du transport sont déterminées au niveau européen. C’est peut-être même plus.


L’Europe détermine en grande partie nos conditions de travail

Les règles relatives au temps de conduite et de repos, qui déterminent combien de temps un chauffeur professionnel peut rouler de manière ininterrompue avant de se reposer. Le tachygraphe qui contrôle si ce même chauffeur respecte ces règles. Les règles de cabotage, qui déterminent combien de temps un chauffeur de poids lourds peut rouler dans un pays européen avant de devoir rentrer chez lui. Les réglementations relatives à l’équipage dans le secteur de la navigation intérieure, qui seront bientôt déterminées au niveau européen.
Et n’oublions pas non plus le rôle négatif que l’Europe a joué à 2 reprises, lorsqu’elle a formulé des propositions relatives au Paquet Portuaire, visant à affaiblir le statut relativement protégé dont les dockers jouissent dans de nombreux pays européens.



Après la pandémie, l’Europe a pris des mesures de relance

Après la pandémie de COVID-19, les dirigeants européens ont constaté que des mesures de relance étaient nécessaires. L’économie, et particulièrement le secteur du transport, a subi des coups durs à différents niveaux. Il suffit de penser au secteur aérien. Nous nous rappelons tous de la faillite de Swissport ! Mille cinq cents de nos collègues ont perdu leur emploi à l’époque. Nos chauffeurs d’autocars n’ont pas non plus été épargnés par l’annulation des excursions des seniors et des voyages scolaires.
D’autres secteurs ont prospéré. Le secteur logistique a explosé et les livreurs de colis ont dû faire des heures supplémentaires. Certains secteurs du transport se sont soudainement révélés « essentiels ». Sans camionneurs, les supermarchés n’auraient pas été approvisionnés, sans dockers, les importations par les ports auraient cessé.
L’Europe s’est toutefois rendu compte à temps que des fonds devaient être réinjectés dans l’économie et a approuvé un plan de relance de 540 milliards d’euros. La Belgique en a aussi profité.



L’austérité s’annonce !

Toutefois, la Commission européenne semble soudainement vouloir changer son fusil d’épaule. L’austérité est de retour et frappera durement les travailleurs de toute l’Europe. Ces économies vont accroître la pauvreté et un nombre croissant de personnes ne seront plus en mesure de payer leur maison ou devront épargner sur les soins de santé dont ils ont besoin. Ça, nous ne le tolérons pas.
En tant que syndicats, nous voulons un nouveau modèle économique et social accordant une place centrale aux travailleurs. Nous avons réellement besoin d’un changement, pas d'un retour à une politique destructive faisant de l’équilibre budgétaire un fétiche et réalisant des économies sur les programmes sociaux. Le dialogue social est d’une importance capitale.

C’est pourquoi la Confédération européenne des syndicats a lancé une pétition avec les revendications suivantes :


  • pas de retour à l’austérité ;

  • des investissements dans des emplois mieux rémunérés, durables et couverts par une convention collective ;

  • pas de subventions publiques sans conditionnalité sociale ;

  • une économie plus juste pour tous.


Poursuivons nos actions !

Pour donner du poids à ces revendications, 50 membres de l’UBT ont participé à la manifestation des syndicats français organisée à Paris le 13 octobre. Deux cent mille syndicalistes ont marché dans les rues de Paris avec un message clair : non à l’austérité, oui à une Europe sociale.



Le 13 décembre, nous manifestons à Bruxelles !

Ce sera bientôt au tour de la Belgique d’être « pays hôte ». Je vous appelle donc à être présents en nombre à Bruxelles le 13 décembre 2023 pour la journée d’action de la CES. Car si nous ne nous occupons pas de l’Europe, c’est l’Europe qui s’occupera de nous. À nous de faire entendre haut et fort nos revendications !



On se voit là-bas !



Frank Moreels

Président de l’UBT


La solidarité sous les feux des projecteurs :
quel est le point de vue de ces figures de proue 

Notre récent congrès a non seulement rassemblé nos membres, mais aussi une liste impressionnante d’orateurs inspirants. La ministre Caroline Gennez a partagé son point de vue sur la force des syndicats et la voie vers une Europe plus sociale. L’ancien président du Labour Party (parti travailliste britannique), Jeremy Corbyn, a fait part de son expérience et de ses idées sur la solidarité internationale et la justice sociale. Pour finir, la personnalité politique belge, Paul Magnette, a présenté la nouvelle campagne « Tax the rich ». Dans ce « be motion », nous présentons les points forts de leurs discours et les messages les plus importants qu'ils ont partagés avec nous. Laissez-vous inspirer par ces personnalités influentes et leur contribution à notre quête d’un monde plus juste.

1. Caroline Gennez souligne la force des syndicats dans la lutte pour les droits des ouvriers et une Europe plus sociale

La ministre Caroline Gennez a fait passer un message clair sur le rôle essentiel des syndicats dans la protection des droits des travailleurs et la création d'une Europe plus sociale. Elle a souligné que grâce à l’engagement des syndicats, les droits des ouvriers et les droits humains ont été ancrés dans des conventions et traités internationaux.
Elle a noté que ces droits n'étaient pas simplement des mots sur du papier, mais sont en fait dans notre sang et devraient s’appliquer à tous les citoyens de la planète. Elle a cité d’importantes questions, comme la lutte contre la discrimination, le travail forcé et le travail des enfants, ainsi que la garantie d'un environnement de travail sûr et sain pour tous les travailleurs.

La ministre a souligné que les syndicats du monde entier faisaient la différence et que la solidarité internationale était essentielle. Elle a insisté sur la nécessité de lutter ensemble contre les heures de travail hyperflexibles, la précarité des salaires, le dumping social et les conséquences de l'économie de plate-forme.
Madame Gennez a conclu par un appel à la solidarité et la coopération pour contrer le programme de la droite et de l’extrême droite. Elle a déclaré que les valeurs socialistes et l’engagement en faveur des simples citoyens étaient au cœur de la lutte pour un avenir plus juste et qu'ils seront cruciaux dans les prochaines années d’élections sociales et politiques.

2. Le plaidoyer de Jeremy Corbyn pour les droits des ouvriers et la justice sociale

Jeremy Corbyn a mis en évidence les défis globaux auxquels les travailleurs du transport sont confrontés, dont l’avancée de l’intelligence artificielle et des algorithmes, qui pourraient influencer l’orientation des médias et les relations de travail. Il a insisté sur la nécessité pour les syndicats de non seulement réagir à ces changements, mais aussi d’en tirer parti, pour que les ouvriers puissent aussi profiter des avancées technologiques. Un autre thème important était le fossé toujours plus grand entre les riches et les pauvres, alimenté par des politiques économiques néolibérales. Jeremy Corbyn a critiqué l'influence croissante des grandes entreprises et leur quête vers la maximalisation des gains, menant à l’épuisement des services sociaux et publics.

 

Il a mis en garde contre la diabolisation des réfugiés et des migrants en tant que boucs émissaires des problèmes économiques et a rappelé qu'ils étaient victimes de la guerre, du changement climatique et de violations des droits de l'homme. Il a terminé sur un appel à l’action et a insisté sur le fait que le mouvement ouvrier et les syndicats jouent un rôle crucial dans la poursuite de la justice sociale.

3. Paul Magnette cherche à recueillir 1 million de signatures pour la grande campagne « Tax de rich »

Lorsqu'on pense à l’avenir de l’Europe, il est clair que nous devons faire plus pour atteindre nos objectifs climatiques et sociaux. Dans cette optique, le président du PS, Paul Magnette, en collaboration avec ses homologues européens, lance une nouvelle initiative pour recueillir un million de signatures au sein de l’Union européenne dans le but de pousser la Commission européenne à formuler une proposition d’imposition sur la fortune. Et ce, afin de financer la transition climatique et sociale.

La « bombe Uber »
à Bruxelles


Le samedi 7 octobre, le groupe professionnel Transport routier & Logistique de l’UBT a lâché une « bombe Uber » à Bruxelles. Avec l’aide de 16 duos, nous avons pu atteindre pas moins de 120 chauffeurs Uber en quelques heures à peine. Lors de ces rencontres, les craintes et les problèmes de ces chauffeurs ont été soigneusement notés et ensuite présentés lors de la concertation sociale avec Uber du 10 octobre. En outre, 8 chauffeurs se sont immédiatement affiliés à notre syndicat ! Cette action est plus que réussie ! L’UBT est proche des gens sur le terrain et agit en fonction de leurs inquiétudes.

Du TRAVAIL FRANCHEMENT FORT, voilà précisément ce que fait l’UBT !



Concertation sociale UBT/Uber


Le 10 octobre, le troisième dialogue social entre l’UBT et Uber a eu lieu. Durant cette rencontre constructive, certaines problématiques ont été abordées, telles que les inquiétudes des chauffeurs, le nouveau décret taxis wallon, l’arrivée d’Uber en Wallonie, les dossiers de désactivation en cours et le premier anniversaire de l’accord de coopération. Malgré certaines divergences d'opinion, il faut noter que la coopération entre l’UBT et Uber a abouti à la résolution de 60 % des problèmes soulevés au cours de l’année écoulée. Cela démontre l’efficacité de cette coopération et ses avantages pour les chauffeurs Uber.

Bien que d’autres défis subsistent, il est clair que sans cet accord de coopération, aucun chauffeur n’aurait bénéficié de cette aide indispensable. La représentation des intérêts et la résolution de problèmes des chauffeurs restent au cœur de la coopération entre l’UBT et Uber.


Le mercredi 4 octobre 2023, l’UBT a mobilisé plus de 40 militants avec des flyers, du café et des biscuits chez DHL Global Forwarding, à Diegem, à l’occasion des Logistics Action Days, une période d’actions de deux semaines organisée par l’ETF. L’ETF a ainsi voulu mettre en évidence d'importants points d’attention pour le secteur logistique à travers l’Europe.

Les collaborateurs logistiques sont la colonne vertébrale de notre économie, mais sont souvent invisibles et non protégés. Le secteur souffre de la précarité de nombreux emplois, des salaires bas et des mauvaises conditions de travail. L’ETF et ses membres sont déterminés à changer les choses en agissant dans toute l’Europe.

Dans le cadre de l’action, l’ETF a officiellement lancé « le Manifeste pour les Travailleurs de la Logistique » qui appelle les employeurs et les représentants politiques à garantir un travail décent, des négociations collectives, la fin des contrats de travail précaires, la réglementation des secteurs logistiques et la transparence des financements.


Avec l’ETF, nous poussons les employeurs, les gouvernements nationaux et les institutions européennes à collaborer en vue d’améliorer et de réglementer le travail dans le secteur logistique. L’UBT continuera de se battre pour créer un secteur logistique durable et juste qui respecte la dignité et les droits de ses travailleurs.




ETF Logistics Action Days:

ensemble on est plus forts
pour les collaborateurs logistiques


« En Belgique, l’UBT a délibérément choisi d'entreprendre une action positive chez DHL parce qu'il s'agit d'une entreprise où nous avons une représentation syndicale depuis des années et où l'employeur respecte le dialogue social et les conventions collectives. Cela montre une fois encore que donner une voix aux travailleurs dans l’entreprise améliore significativement les conditions de travail. Il est donc absolument possible d’avancer dans le contexte difficile du secteur logistique en nous organisant, en étant actifs en tant que syndicat et en défendant les travailleurs. »


Frank Moreels,

Président UBT

Les flexi-jobs dans le secteur
des autobus et des autocars :
la porte ouverte à encore plus de précarité !

La demande d'introduction des flexi-jobs était une revendication du patronat, qui se trouvait sur la table des négociations dans tous nos secteurs. L’UBT-FGTB a pu garder la porte d’entrée fermée partout, car les conditions de travail précaires (journées longues et irrégulières) et les salaires bas étaient déjà depuis des années à l’origine des pénuries dans certaines professions.

Frank Moreels, président de l’UBT : « La demande en personnel qualifié n’a jamais été aussi forte. Ceux qui pensent que les flexi-jobs répondront à cette demande sont totalement à côté de la plaque. À cause des flexi-jobs, des emplois avec des conditions de travail et de rémunération normales sont remplacés par des emplois précaires. Les flexi-jobs ne sont pas la solution aux métiers en pénurie. Au contraire ils rendent l’emploi régulier encore moins attrayant. »

Le gouvernement ouvre maintenant la porte de derrière en étendant le système au secteur des autobus et des autocars, ce qui présente de sérieux dangers :


  • Il existe une interdiction de cumul au niveau de l’entreprise, mais pas au niveau sectoriel. Des contrats à 4/5e pourraient donc être complétés par un flexi-job dans une autre entreprise d’autobus. Les contrats à temps plein deviendront une exception.
  • Des chauffeurs d’autocar peuvent être remplacés, par exemple, par un professeur d'éducation physique disposant des attestations et permis de conduire requis qui conduirait lui-même, en tant que travailleur en flexi-job, l’autocar d'une entreprise d’autobus pour emmener les élèves à la piscine, en classe de neige pendant les vacances de carnaval ou en voyage à Rome.
  • Il n’y a aucune limite définie (exprimée en pourcentage) pour les flexi-jobs dans une même entreprise par rapport à l’emploi régulier. Une entreprise d’autobus peut travailler exclusivement avec des flexi-jobistes.

L’introduction des flexi-jobs dans le secteur des autobus et des autocars ne sera pas annulée. L’UBT a donc formulé des propositions concrètes au ministre de l’Emploi afin de mieux les encadrer :

  • Introduction de l’obligation du tachygraphe pour tous les véhicules affectés au transport de personnes en Belgique, quels que soient le poids et le nombre de kilomètres, dans le cadre du respect de la sécurité routière ainsi que des temps de conduite et de repos.
  • Interdiction de cumul au sein du secteur.
  • Limite, exprimée en pourcentage, du nombre de flexi-jobs par rapport à l’emploi régulier.
  • Pas de flexi-job possible en cas de chômage temporaire et/ou économique.
  • Sélection médicale et test sur les capacités de conduite, chaque année, pour les chauffeurs pensionnés.

Pourquoi les flexi-jobs ne sont-ils PAS la solution ?

  • Les flexi-jobs nuisent à l’emploi régulier et maintiennent les salaires à un bas niveau. Une pénurie sur le marché du travail devrait en principe mener à de meilleurs salaires. Toutefois, l’introduction du travail intérim, des flexi-jobs, du travail étudiant et des travailleurs étrangers, permet en partie de remédier à cette pénurie et de ne pas avoir à payer des salaires plus élevés. Ainsi, le secteur n’attire toujours pas et les métiers en pénurie persistent.

  • Un chômeur ne peut être flexi-jobiste. Les flexi-jobs ne mettent donc pas plus de personnes au travail, mais donnent plus de travail aux gens qui travaillent déjà et aux pensionnés. Le chômeur reste donc chômeur et sa chance d'occuper un emploi régulier lui est retirée.

Nouveau cap pour les formations
des administrateurs du groupe professionnel Port

Cette année, notre groupe professionnel Port a entamé la révision et la modernisation de ses formations. Le premier cours entièrement renouvelé a été la formation de base, qui a fait l’objet d'un essai le mardi 19 septembre. Sous la direction des délégués permanents Bart Pierré, Nick Loridan et Kevin Verhaegen, un groupe d’administrateurs a participé au cours, qui a été accueilli très positivement. La formation de base a pour objectif de donner aux (nouveaux) administrateurs des connaissances de base approfondies sur notre centrale, notre groupe professionnel et sur le fonctionnement de structures importantes. En outre, le cours a couvert les compétences de base nécessaires à la participation à des réunions de gestion, en abordant des sujets tels que la création du Fonds de Sécurité d’Existence, l'origine de la Loi Major et la lutte cruciale contre les Paquets portuaires.

 

Après la formation de base, nous offrons également une formation internationale, qui aborde de manière plus approfondie les structures syndicales européennes et internationales et le rôle de notre groupe professionnel et de la centrale dont il fait partie. Ce cours est actuellement remanié, au même titre que la formation étendue de 4 jours.

« Il y a encore beaucoup à faire en
matière d’égalité dans le secteur portuaire,

et je suis déterminée à y contribuer ! » - Hannelore Hannes


Hannelore Hannes, administratrice exécutive et membre de notre action syndicale pour les jeunes, s’engage ardemment en faveur de l’égalité dans le secteur portuaire. Elle souligne qu'elle est fière d'avoir choisi un métier portuaire, dans lequel elle doit se démarquer au quotidien. Elle se réjouit que de plus en plus de femmes choisissent une carrière au port : il y a environ 500 ouvrières portuaires au port d’Anvers. Les femmes sont désormais représentées dans presque toutes les catégories, même en tant que grutières et chefs d'équipe. Cette évolution montre que les femmes continuent d’emprunter le chemin du port.

Hannelore souligne toutefois qu'il reste beaucoup à faire pour atteindre l’égalité des genres sur le lieu de travail, étant donné que tout le monde ne voit pas ce changement d'un bon œil. Le syndicat s’engage déjà depuis longtemps pour l’égalité via des campagnes et des actions, tant à un niveau national qu'international. Mais les efforts ne se limitent pas aux campagnes ; des efforts sont également faits pour accroître la représentation des femmes à des postes de gestion et dans les activités au sein du port.

Avec son syndicat, Hannelore reste déterminée à œuvrer pour un avenir équitable dans le secteur portuaire. 

BTB in actie

13 octobre 2023


Grande délégation de l’UBT présente à la manifestation européenne organisée à Paris


Accompagnée d’autres syndicats, une délégation de plus de 50 militants de l’UBT a manifesté à Paris contre la politique d’austérité européenne et pour une Europe plus sociale avec des salaires plus élevés, de meilleures pensions et l’égalité des genres. L’UBT plaide pour une amélioration de la qualité de vie à différents niveaux en s’attaquant à la pauvreté et aux inégalités, en garantissant des salaires justes et en donnant accès à des soins de santé et à un enseignement de qualité. Elle cherche à créer une société inclusive, où la diversité est célébrée et la solidarité est encouragée. Cette manifestation s’inscrivait dans la continuité des six mois d’actions organisées en France contre les réformes controversées du président Macron, durant lesquelles un total de 200.000 personnes sont descendues dans les rues de différentes villes. Durant la manifestation, des syndicats internationaux alliés ont applaudi la combativité des militants de l’UBT.



5 octobre 2023 

La résistance n'est pas un crime - manifestation Bruxelles


Le projet de loi Van Quickenborne met en péril notre droit démocratique à manifester. Nous n'accepterons pas que nos opinions soient réduites au silence ! Protester est un droit. C'est pourquoi nous avons également manifesté à Bruxelles le 5 octobre !

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16 octobre 2023


Campagne 'Stop Agressions' à Herentals

Le lundi 16 octobre, l'UBT-FGTB et CGSP-TBM ont informé les conducteurs et les passagers de notre campagne "Stop à l'agression" à la gare d'Herentals ! Ensemble, nous travaillons à la création d'un environnement de voyage sûr et respectueux.